Lutte...
J’ai laissé les quelques forces qui me restaient dans cette lutte infernale
A te défendre plus que ma vie. Contre un adversaire de taille : l’injustice poussée par la lâcheté et la manipulation. Ces dernières poussées elle- même par le manque de courage de certaines personnes irraisonnables à gérer leurs propres souffrances, à se repaître et à se rassurer de celles qu’elles infligent aux autres. Ces gens de "pouvoir" qui n’ont de cesse pour assoire leur "puissance" que de briser les ailles des autres pour les mettre à bas et les dominer.
Je suis assommée par cette vérité mainte fois vécues dans le passé, à me voir me dépasser pour ceux que j’aime et ce jusqu’à mon dernier souffle, alors que je ne sais même pas en faire un dixième pour moi-même…
Me retrouver là où je ne voulais surtout pas aller, là où je me refusais d’être, là où la nescéssitè que requières la situation me demandait de me tenir. A cette place, ce rôle que j’ai longtemps tenu et auquel je voulais renoncer parce qu’il me faisait tant de mal. La vie voyant que je démissionnais pour moi-même m’a habilement contrainte à reprendre cette place en me mettant dans une situation d’une telle violence pour une des personne que j’aime le plus au monde (TOI) qu’il ne m’a pas été possible de faire ce que je fais pour moi seule : râler un coup puis laisser passer, quitte à me faire salir et briser.
Alors j’ai vaillamment pris les armes et suis montée au combat. Positionnée pour ne blesser personne, calmer le jeu et rééquilibrer de la manière la plus habile possible pour tous, une situation créé uniquement par le manque de conscience que l’on peu parfois avoir sur soi même et les autres. Centrée et me mettant dans la plus grande distanciation, avec le plus de bienveillance et de compassion possible j’ai posé une main bienveillante sur l’épaule de celle qui te (qui nous) faisait tant de mal pour l’accompagner dans la prise de conscience du "pourquoi" un tel acharnement amplit d’une si grande injustice à ton égare.
La démarche a payé et le combat fut remporté. Tout repris alors sa place et tout rentra dans l’ordre… tout, sauf moi (pleine et vide à la fois) qui suis à présent si heureuse de constater à quel point par amour je peux me dépasser mais à quel prix je le fais… Et si tu me voyais, là, me tenir devant toi, alors tu comprendrais tout ce que ces mots ne peuvent pas dire.
(Même si je n’ai de cesse quand même d’essayer de le faire malgré tout; de tenter de mettre des mots et d’exprimer ce que je ressens, ce que je vis. Et c’est là la raison d’existence de ce blog, de ce « petit chez moi » comme j’aime à l’appeler.)
Noute